La kinésiologie est efficace si l'intention du consultant est l'arrêt définitif du comportement addictif. Que cela soit une résolution de début d'année ou lié à une prise de conscience plus générale sur sa santé, l'arrêt du tabac devient compliqué si l'effet de manque n'est pas pris en compte. 

 

Tout d'abord, le manque est un état comportemental semblable à un sentiment d'angoisse. Cet état correspond, anatomiquement, à un arrêt de stimuli hormonaux, tels que la dopamine ou la sérotonine. Le corps et l'esprit se mettent alors en branle pour demander la dose à laquelle le corps était habitué par la consommation de tabac et de nicotine.

C'est tout le système de récompense qui est à déconstruire ; lui qui s'élabore en fonction de notre éducation et des récits familiaux.

Comment la kinésiologie peut-elle accompagner l'arrêt de consommation de tabac et l'annihilation de l'effet de manque?
Premièrement, par le biais du test du tonus musculaire, le praticien sera à même de cibler le contexte, les croyances et les comportements émotionnels en lien avec les premières consommations de cigarettes (antécédents familiaux, mimétisme, relation sociale...).
Durant la même consultation, les connexions neuronales résultants des croyances et comportements pourront être déconstruites à l'aide d'outils, de techniques propres à chaque praticien (visualisation, réintégration de réflexes archaïques, médecine chinoise, art-thérapie ...).

Enfin, pour un effet durable et vertueux, il peut être donné un exercice permettant au consultant d'arrêter de fumer sans craindre l'effet de manque. L'exercice sera mis au point par le praticien et approuvé par le consultant.

 

 

Témoignage d'un consultant étant venu pour un sevrage du tabac :
"Très bonne expérience avec Gwenn. C'était ma première séance de Kinésiologie, j'y suis allé dans le but d'arrêter de fumer. Cela fait maintenant presque 2 mois et je n'ai toujours pas repris la cigarette (mis à part deux petits moment de faiblesse en soirée). Je recommande !"
Anthony Le Crom